Avenir de ST : ASSEMBLÉE JEUDI 11 FÉVRIER 12H45

Informations sur les CCE et CE de cette semaine

NOS PROPOSITIONS D’ACTIONS

Dans le cadre des suppressions d’emplois dans le monde, le plan de destruction de CPD se traduit pour la France, dans le document transmis au Comité Central d’Entreprise, par un « périmètre » de 949 personnes dans CPD plus 108 personnes dans les fonctions centrales de DPG. Soit 1057 personnes au total.

D’ici fin 2018, la direction souhaite effectuer 430 départs volontaires et 600 mobilités internes, sur ce périmètre. Le total fait 1030.

Autrement dit, la direction souhaiterait que d’ici fin 2018, tous les salariés du périmètre qui n’auront pas été mutés, quittent « volontairement » ST ! Certes elle n’a pas mis dans ce plan de couperet « licenciement au cas où le chiffre des départs » n’est pas atteint, mais on voit bien ses intentions. Certes elle indique qu’il est possible que des personnes hors-périmètre puissent partir s’ils trouvent une personne du périmètre pour les remplacer, mais ce PDV est tout à fait différent d’un plan s’adressant à toute l’entreprise.

En fait la direction avait prévu un plan de licenciements. Elle l’a transformé en PDV suite aux actions menées depuis mai 2015, pour le faire passer auprès des pouvoirs publics. Mais les intentions de départ restent présentes.

Seuls les sites de Paris et de Grenoble sont fortement ciblés par le PDV. A Crolles et au Mans, il s’agit essentiellement de mutations.

Le plan à Grenoble

Effectifs CPD Grenoble :   672
Mutations MMS Grenoble : 142
Mutations APG Grenoble :   35
Mutations DMA Grenoble :   93

Total mutations :                270

672-270 = 402 personnes … qui en l’état actuel des choses se retrouveraient dans le nouveau groupe de M. Dardanne (où ? dans la division CPD ?) sans perspectives de travail, sauf la Légacy pour une partie d’entre eux et pour une durée limitée.

A cela il faut rajouter 30 postes supprimés dans les fonctions centrales DPG. Ces fonctions centrales occupent 101 personnes à Grenoble sur 108 au total…

De tout cela nous tirons une conclusion : si on ne veut pas que tout cela finisse en licenciements, il faut se battre pour que de vraies activités économiques soient mises en place, utilisant les compétences en numérique.

Ceci est aussi indispensable pour que le site garde une dynamique et une place importante dans ST.

IL FAUT AUGMENTER LA PRESSION SUR LES POUVOIRS PUBLICS POUR ETRE ENTENDUS !

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